Pourquoi je ne crois plus aux régimes




(alerte billet fleuve mais d'utilité publique) 

Comme chaque année, l’arrivée du printemps provoque la même réaction en cascade chez le commun des mortels (surtout des mortelles de fait) : qui dit printemps dit bientôt été, dit corps dénudés, dit cellulite exposée, dit warning dans l’assiette.

L’idée ? Se délester en catastrophe des kilos accumulés entre novembre et avril (on remercie au passage le foie gras, le chapon, la bûche, la raclette, la fondue, la galette des rois, les crêpes et les œufs de pâques).

C’est la période pendant laquelle j’essaye de ne pas crier sur tous les toits mon métier, dont l'annonce suscite 99.9% du temps des réactions intéressées (je ne jette la pierre à personne, je suis la première à rebondir sur la profession des autres « ah tu es dermato ? Tu voudrais pas regarder ce grain de beauté là ? il est bizarre non ?"). 

Le Poke Bowl, néo Bo-bun?



A moins de vivre dans une contrée lointaine recluse et 2.0-free, vous avez forcément entendu parler du Poke Bowl. Nouvelle lubie des foodista, qui s’en sont emparés en 2016 pour en faire le nouveau it-plat, reléguant les bo-bun et autres avocado toasts au rang de has been.

Kesako ?